vendredi 22 août 2014

Ceux qui tombent, Michael Connelly.

Bosch vient de décrocher un sursis de trois ans avant d’être mis à la retraite d’office lorsqu’il se voit confier un cold case datant de 1989. Viol suivi de meurtre, ADN, antécédents judiciaires et profil psychologique, tout incrimine un certain Clayton Pell. Un suspect… qui n’aurait eu que huit ans au moment des faits. Erreur du labo ou faute impardonnable de deux inspecteurs ? Les conséquences de ce cafouillage s’annonçant monumentales, Bosch se met immédiatement au travail lorsqu’il est appelé sur une scène de crime. Un homme se serait jeté du septième étage du célèbre hôtel de Los Angeles, le Chateau Marmont. La victime, George Irving, est le fils d’un conseiller municipal très influent à L.A., un homme qui n’a jamais porté Bosch dans son coeur. Pourquoi exige-t-il que ce soit lui qui mène l’enquête ?



Deux intrigues menées en parallèle, l’une révélant la corruption de politiciens obnubilés par leurs profits, l’autre la monstruosité de prédateurs sexuels, et une description de Los Angeles qui fait froid dans le dos.

Pas de zones grises, pas de coupables qui sortent du placard ni vu ni connu et pas d'enquêteur bourru et frustré de la vie... Mon premier Connelly à vie et j'aime beaucoup! Même si j'arrive probablement à la vingtième enquête de Bosch et que Le Poète (un classique, il paraît...) attend sagement dans ma pile depuis au moins 7-8  ans, je peux enfin dire que j'ai lu le maître du polar américain  et que je comprend maintenant son méga succès.  Je ne retournerai certainement pas au premier roman, mais je ne passerai plus devant l'auteur sans y jeter un coup d'oeil!

Good stuff, I'm tellin' ya!  Pas une seconde d'ennui avec Connelly, Bosch et le LAPD (Los Angeles Police Department), parce que LA, c'est LA, une ville qui ne dort jamais et qui déborde d'action à tous les coins de rue!

Vous dire que j'ai déjà hâte de lire d'autres enquêtes serait presque superflu...

2 commentaires:

Le Papou a dit...

Longtemps un de mes héros favoris Hyéronymus.
Le Papou

Jules a dit...

Le Papou: :o) et moi qui le découvre aussi tard...