mardi 1 décembre 2015

Va et poste une sentinelle, Harper Lee.

Jean Louise Finch, dite « Scout », l’inoubliable héroïne de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, est de retour dans sa petite ville natale de l’Alabama, Maycomb, pour rendre visite à son père, Atticus. Vingt ans ont passé. Nous sommes au milieu des années 1950, et la nation se déchire autour des questions raciales. Confrontée à la société qui l’a façonnée mais dont elle croit s’être affranchie en partant vivre à New York, Jean Louise va découvrir ses proches sous un jour inédit…

Chronique douce-amère de l’adieu à l’enfance, entre tendresse et férocité, espoir et désenchantement, révolte et révélations, Va et poste une sentinelle est le deuxième roman de l’auteur de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur mais fut écrit avant son livre culte, prix Pulitzer en 1961. Si sa publication constitue aujourd’hui un événement majeur, ce n’est pas seulement parce qu’il aura fallu attendre plus d’un demi siècle pour connaître son existence, ni parce qu’il a d’ores et déjà battu tous les records de ventes (plus d’1,1 million d’exemplaires en une semaine lors de sa parution aux États-Unis), mais aussi, et surtout, parce qu’il s’agit d’un grand livre, puissant, émouvant, dérangeant : un troublant miroir tendu à un monde qui, malgré le passage du temps, nous parle toujours du nôtre.
 
Abandon p.65... ou lecture reportée?
 
Je n'ai pas retrouvé le bonheur de lecture éprouvé dans Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur.  Je n'ai pas retrouvez non plus la force du précédent.  Ici, Scout est capricieuse et gâtée, elle ne me plaît pas.
 
Je m'arrête ici et je le remet dans la PAL pour un jour du futur où j'aurai peut-être un peu plus de persévérance ou de tolérance!
 
ISBN: 9782246858683

4 commentaires:

GeishaNellie a dit...

Personnellement, même si le charme n'a pas opéré autant que le premier j'ai beaucoup apprécié tout de même.

Alex Mot-à-Mots a dit...

Il semblerait que cette suite soit beaucoup moins réussi que le premier opus.

Dominique a dit...

j'ai été très déçue aussi rien à voir avec son roman culte

Jules a dit...

Geisha: je n'ai pas pu poursuivre malheureusement...

Alex: c'est souvent le cas après un classique!

Dominique: non, rien à voir, tu as raison!