lundi 7 décembre 2015

Moi, Simon 16 ans homo sapiens, Becky Albertalli.

Simon Spier, 16 ans, est gay, mais personne n'est au courant. Sur l'ordinateur du lycée, il chatte avec un certain Blue, dont il tombe amoureux. Il ignore sa véritable identité mais sais qu'il fréquente la même école que lui. Un jour, il oublie de fermer sa session et Martin, un de ses camarades de classe, découvre ainsi son homosexualité et menace de tout révéler.
 
Simon a 16 et entretient une relation avec un autre garçon qu’il ne connaît pas par l’entremise de sa boîte de courriels.  Ce garçon prétend fréquenter la même école, mais Simon ne saurait le reconnaître.
 
Il se passe deux choses dans ce roman.  Simon tombe tranquillement amoureux de cet inconnu et il avoue son homosexualité à ses parents et amis.
 
C’est un roman pour jeunes adultes.  C’est bien, mais je dois admettre que je me suis ennuyée dans certains chapitres et que j’ai trouvé l’utilisation de quelques termes un peu trash pour le ton utilisé dans le reste du bouquin (pine, bite, etc.).
 
Moi, Simon 16 ans homo sapiens s’inscrit dans la vague de romans YA qui cible un sujet en particulier et qui ont, j’en suis convaincue, leur nécessité dans le paysage de nos adolescents parfois en quête de réponses, de support ou d’exemples.  Ce genre de roman encourage les jeunes à être eux-mêmes en s’affirmant et vivant pleinement les choix qu’ils ont faits.  Dans ce sens, ce roman livre la marchandise.
 

2 commentaires:

Alex Mot-à-Mots a dit...

Sans doute également que les YA eux-mêmes ne sont pas choqués par un vocabulaire si cru.

Jules a dit...

Alex: oui, je crois bien! Malheureusement, je ne suis plus YA depuis belle lurette! :P